Nom: Akuma
Prénom: Ikaro
Âge: 17 ans
Matière préférée: Si vous lui demandez cela, il répondra sans doute la chimie. Même si sa préférée est sans conteste l’informatique
Niveau scolaire: (doué, normal, à de la difficulté en cours...) Doué, mais n’emploie pas son intelligence pour ça…
Caractère:Comment définir le caractère de notre démon ? Démoniaque ? Possible…
Tout d’abord, passons en revu ses qualités. Est-ce un mot connu pour notre Luciferinouchet ? Oui… Enfin, pour lui, sa seule qualité, c’est la force -_-‘. Qu’a-t-il comme qualités ? Pour cela, il faut chercher loin, tout au fond de son cœur, la haine et la souffrance ayant tout recouvert… Voilà, a droite, dans son cœur, vous pouvez voir une trace de gentillesse, qu’il n’utilise que trèèèèsss rarement. Même presque jamais d’ailleurs. A quoi bon être gentil, si on ne ramasse que souffrance ou colère ? Bon, passons… Lorsqu’il se montre gentil, Lucif’ est adoraaaablllle. Mais bon, ne rêvez pas trop m’sieur dame. D’autres qualités ? Courageux, téméraire ? Même un peu trop… Il n’hésite pas a se confronter a de plus fort que lui, d’insulter les adultes, et autres… Cela lui cause beaucoup de problèmes… Encore ? Non, si ce n’est une grande intelligence…
Défauts défauts ? Il passerait des jours à les énoncer.
Tout d’abord, une insolence, et une vulgarité a toute épreuve. Quelques soit la situation, il trouvera toujours une insulte pour telle ou telle chose.
Il est aussi fier, et arrogant. Jamais il ne pleurerait devant quelqu’un. Les deux seules personnes qui l’ont vu pleurer sont Andy et Carla.
Il manque cruellement de confiance en lui.
Son agressivité vient d’une douleur.
Il est prêt à attaquer tout le monde, à se battre tout le temps. Ne cherchez pas les embrouilles avec lui, sinon, vous risqueriez de vous retrouver à l’hôpital. N’ayant jamais eu à partager, il est un peu égoïste.
Vous découvrirez le reste plus tard…
Son orientation sexuelle ? Dans l’histoire vous avec les deux… Mais il est plus attiré par les hommes que par le gente féminin…
Physique:Tout d’abord, ne vous demandez pas si Lucifer ressemble à son père ou a sa mère. Il ressemble à son grand-père maternel. Des cheveux blonds clairs, dont la longueur atteint les homoplates du garçon. Cependant, il les a teint en rose violet. Pourquoi ? Seul lui le sait. Ils sont fins, et lisses.
Ses yeux ont une couleur dégradée. Du bleu océan au bleu ciel. Fins, ils sont bordés de longs cils blonds. Il possède une boucle d’oreille à l’oreille droite. Le reste de son visage est fins, et pâle. Son corps est grand et plutôt un peu beaucoup musclés. Toujours habillé avec excentricité , il n’hésite pas à dévoiler ses muscles.
(Vraiment pas d’inspiration pour ça…]
Histoire: L’histoire du petit Luciferichounet ?
Né d’un amour parfait (je vous éviterait les détails ^^), le petit garçon naquit dans un hôpital luxueux. Sa mère, une grande femme, au teint mat, aux yeux et cheveux noirs était connue dans le monde de la danse. Danseuse moderne réputée, elle gagnait de belles sommes d’argent qui permettait a son mari, chômeur, de survivre. Elle avait de nombreux prétendants, à qui elle refusait toujours leurs propositions, même les plus payantes. Elle aimait tendrement son mari, qui, lui, n’hésitait pas à accorder ce que voulaient ses conquêtes… Comme dépensé des milles et des cents dans des bijoux, et comme le sexe… Bien entendu, la jeune femme le savait, mais ne disait rien. L’homme profitait de l’argent de sa femme, et de sa beauté. Comment profiter de la beauté d’une femme ? En exploitant chaque parcelle infime de son corps. En l’offrant à d’autres… L’homme n’hésitait pas à vendre sa femme, qui obéissait, aveuglée par l’amour… Alors, le gamin était né d’un amour parfait ? Non… Peut-être que les problèmes du mioche tiendront de là… En sortant de l’hôpital, ils se rendirent –en belle voiture, bien entendu- dans une maison qui ressemblait plus à une villa, qu’à une simple maisonnette de foyer heureux. Tout respirait la froideur, l’austérité… L’enfant ne serait pas heureux ici…
Quelques jours après, un accident arriva. L’homme, devenu alcoolique en apprenant que sa femme était enceinte de Ikaro, avait frappée sa jolie jeune femme. Un bébé criait dans la chambre voisine, sans qu’il ne s’en préoccupe. Il alla chercher le berceau et l’emmena avec force dans le salon. Le mari –passablement énervé- s’arma d’un couteau. Un couteau…d’attaque… La jeune femme en reçu plus d’un avant de réussir a s’enfuir, emportant le bébé avec elle. Cependant, le garçon gardera tout au long de sa vie une cicatrice sur le long de sa joue. Son père l’avait blessé avec la lame blanche.
La jeune femme, éperdue d’amour, voulait sans cesse revenir vers son mari. Son amie, chez qui elle s’était réfugiée, la retenait avec peine. Elle lui repetait sans cesse que ce mari infâme était dangereux pour elle et pour l’enfant. La jeune blonde la menaça avec force en disant qu’elle garderait l’enfant et porterait plainte si la jeune femme retournait avec l’autre. La menace fit son effet, et Sania –la mariée- resta donc chez Carla. La jeune amie, toute aussi riche que San’ décida de prendre en main l’éducation du petit garçon, sa mère n’étant pas apte à le faire.
A l’âge de trois ans, le gamin fut envoyé dans une école primaire privée. Et oui, les deux jeunes femmes voulaient ce qui avait de mieux pour lui. Pendant qu’il partait à l’école, San’ allait danser, et Carla restait a la maison pour travailler sur son ordinateur chéri. Elle avait une passion dévorante pour l’informatique. Cependant, un soir, San’ ne rentra pas. Ne s’inquiétant pas spécialement, Carla ordonna à Ikaro de rester à la maison la journée suivante. Elle partit à la recherche de son amie, enfermant le garçon à double tour dans la maison.
Carla revint au bout de quelques heures, désespérée. San’ restait introuvable… Elle alluma la télévision et tomba de suite sur des informations qui la figèrent. Une jeune femme à la peau mat et aux cheveux noirs avait été trouvée les pieds et les poings liés, le corps tracés de coups. Ils montrèrent ensuite la jeune femme, et Carla fut prise de nausée. Sania… Et le tueur avait cependant été arrêté…Et ce n’était autre que sont mari…
Après de nombreux jugements qui durèrent des mois –et pendant lequel le petit prit un an de plus- Carla fut déclarée tutrice d’Ikaro. Elle se promit elle-même de tout apprendre au petit lorsqu’il sera en âge de comprendre.
Le garçon atteint l’âge de cinq ans lorsqu’il se mit à dérailler. Gamin capricieux et qui n’hésite pas à frapper ses camarades. Cependant, Carla ne le punit pas. La jeune femme le gâtait beaucoup trop… Elle avait bien conscience des bêtises du garçon, et aurait du y mettre un terme… Cependant, elle n’en avait pas la force… Elle aurait bien voulut mettre ce mioche insupportable en pension. Mais les pensions alentours n’accueillaient pas les gamins en dessous de dix ans…
Un soir, la claque qu’elle voulait lui mettre depuis tant de temps décolla. Tout d’abord, le gamin était entrain de regarder la télévision quand sa tutrice arriva et dit avec une voix douce :
« Ikaro…Va te coucher s’il te plait…
-J’ai pas envie grosse vache ! »
Le gamin de six ans connaissait déjà la vulgarité. Outrée, Carla tapa du pied, impatiente :
« Tu va te coucher, point barre !
-Ta gueule… »
Il n’avait aucun scrupule à se montrer vulgaire envers la jeune femme. Mais d’où connaissait-il ces mots-ci ? Et oui, son école privée était très mal réputée dans le coin. Elle s’approcha de lui doucement et voulut le prendre par le poignet. Il la repoussa fortement :
« Je t’ai dit de me foutre le paix ! »
Exaspérée, Carla leva sa main et l’abattit sur la joue du garçon. Ce ne fut pas la gifle qui lui fit mal, mais plutôt la douleur de sa cicatrice. Chaque fois que quelqu’un touchait sa cicatrice, il avait mal… Et enfin le gamin se rendit dans sa chambre luxueuse, et s’endormit comme une masse. Il se promit de ne plus faire le malin devant sa mère.
Pendant les quatre années suivantes, rien d’important ne se passa, a part que le petit se fit renvoyé de l’école pour avoir cassé le nez à un autre. Heureusement, il avait dix ans, et sa tutrice put enfin l’envoyer en pension. Une pension très stricte, sans aucune flexibilité. Cependant, un groupe d’élève se forma –comprenant Ikaro-. Un groupe de fortes têtes qui commencèrent à faire tourner les professeurs en bourriques. Plusieurs profs tentèrent de se suicider, et d’autres plongèrent en pleine déprime. Les adolescents de douze ans s’amusaient à draguer les filles, et à tenter un petit peu de les déshabiller. Aucun pions ne les arrêtait, ayant peur de se faire frapper. Un soir, la bande fumait tranquillement dans le parc, une bande de quatre mecs. Ils se dirigeaient vers els douches féminines et entrèrent en grands fracas. Les filles – aux nombres de quatre- sortirent de leurs cabines. Les garçons les empêchèrent de hurler et les collèrent contre le mur. Elles étaient entourées d’une simple serviette qu’ils enlevèrent. Les lèvres d’Ikaro passèrent du cou, à la poitrine de sa fille. Une main sur la bouche de Sonia, et l’autre se baladant sur ses hanches et entre ses cuisses. Puis les filles acceptèrent. Après tout, ces garçons étaient les plus beaux de la pension… Elle passa la main sur le bouton d’Ikaro et lui enleva son pantalon. Ikaro, subjugué par cette beauté ne regardait pas si les autres arrivait à leur fin. Cependant, il ne voulait pas qu’elle lui cède si facilement. Il lui murmura une chose a l’oreille, et elle se ré enroula dans sa serviette avant de le suivre. Tout les deux dans la chambre du garçon… Voilà la première fois du garçon… Agé de treize ans… Il se réveilla, la poitrine ferme de Sonia collée contre son torse. Et oui, elle était plus âgée… Quinze ou seize ans. Pourquoi avait-elle acceptée de coucher avec lui ? Il n’en saurait sûrement rien… Ils continuèrent de se voir quelques soirs, puis ils arrêtèrent. La jeune fille trop préoccupée par ses cours, et lui, trop préoccupé par son habitude à embêter les profs. Chaque vacances ils revenait chez Carla, mais s’en souciait peu…
Pendant des vacances d’hiver, il se ramena avec son meilleur ami. Carla n’émit aucune objection, elle ne pouvait pas. Ce mioche était comme son père… Elle savait qu’il avait déjà fait l’amour, mais n’osait riposter… Elle-même l’avait fait jeune… Les deux garçons dormaient dans la même chambre. Un soir, Ikaro vint sur le matelas de Andy, et commença à l’embrasser dans le cou. Et oui, ils s’amusaient a ça… Les mains d’Andy se firent baladant et caressèrent le sexe d’Ikaro qui frissonna de plaisir. Ils s’embrassèrent et se déshabillèrent tour a tour. Les baisers d’Ikaro descendirent jusqu’au nombril d’Andy, tandis que ce dernier tenait les cheveux de son démon.
Carla, croyant bien faire, alertée par les cris des deux garçons ouvrit brusquement la porte, et se transforma en furie. Elle les regarda tour à tour et murmura :
« Tu ne peut-être que l’ange des ténèbres… »
Elle ferma brusquement la porte. Elle était très jeune…Juste vingt-sept ans. Et oui, elle avait treize ans lorsqu’elle avait accueillie San’ et son bébé. Il avait pu remarquer les larmes rages coulant sur les joues de la belle tutrice. Il embrassa vivement Andy et enfila rapidement un jean. Il courut à la suite de Carla. Trop tard… Elle porta les médicaments et le verre d’eau a sa bouche. Figé dans une terreur absolue, il ne put rien faire. Quelques minutes se passèrent, et après avoir avalé ce poison, elle murmura :
« Je voulait t’élever, comme un fils… J’avais seize ans quand ta mère est morte… Morte a cause de ton père… Mais tu es comme lui… tu te fiches des sentiments des autres… »
Des larmes coulaient encore, tandis que le médicament agissait, l’afaiblissant, comme ce sang qu’elle faisait coulée :
« J’ai espérée… Que tu prendrais un autre chemin… Je… »
Elle tomba, ses jambes ne pouvant plus la supporter. Pendant ce temps, le garçon était toujours figé.
« Je…Tu restes là comme un abruti… Adieu… Lucifer…»
Elle empoigna le couteau et le remit sur ses veines qu’elle voyait, se coupant de partout. Puis elle tomba sur le dos, les yeux fermés. Ikaro comprit et se laissa tomber à genoux, à coté de sa tutrice. Elle avait tout fait pour lui…Mentit a la justice, disant qu’elle avait dix-huit ans… Couvert ses fautes… Le garçon pleurait. Il avait été si désagréable… Son amour d’une nuit le rejoint, aussi en jean.
« Ikaro…
-Va t-en…Je ne retournerait pas à la pension… Et je ne m’appelle plus Ikaro… J’ai tué quelqu’un… »
Andy, terrifié, s’en alla, rentrant dans cette pension…Pendant ce temps, Lucifer avait empoigné le corps de sa tutrice et l’avait couché sur un lit, l’enroula sur des draps blanc. Il ne pouvait que continuer à pleurer. La seule qu’il aimait vraiment… Le seul qui connaissait son vrai prénom. Il hurla :
« ALIA ! »
Après des heures de larmes, il s’endormit sur le sol. Il se réveilla quelques heures après. Très tôt…Trois heures du matin…D’une pâleur extrême, et ses yeux cernés, il creusa un trou dans le jardin, pour enterrer sa tutrice. Il l’avait tué… Il prit de l’argent, quelques affaires, et ferma cette porte à tout jamais. Il ne reviendrait pas ici… sauf pour y mourir…
Il vécu quelques mois dans un quartier de banlieue, où il devint dépendant a la drogue. Il n’avait pas une vraie identité, personne ne le retrouverait… La moitié de son argent passait dans ses piqûres de drogues. Entre ses cigarettes et ça, tout y passait. Il savait qu’il avait une grande somme d’argent à la banque, mais ne voulait pas l’utiliser. Il était devenu fort, et impitoyable. Plusieurs personnes se retrouvèrent à l’hôpital a cause de lui. Puis, il se fit des amis. De vrai. Des garçons qui le remirent à sa place. Mais Lucifer garderait toujours ce caractère téméraire… A son dix-septième anniversaire, son « grand frère » lui dit :
« Lucif’… Il faut que t’aille dans une pension… Tu ne peux pas rester à traîner dans la rue… Je t’ai hébergé deux ans, c’est fini…
- Kato… Ne me laisse pas partir… C’est à cause pension qu’elle est morte…
- Non… Pourquoi souffres tu comme ça…
-Je l’aimais…Plus qu’un amour, plus qu’une mère… »
Seul Kato avait encore du pouvoir sur son protégé. Il l’envoya dans une pension, que peu de personnes ne connaissaient… Suiryo… Peut-être que tout cela fera oublier à Ikaro les trois dernières années… Années de douleur, de souffrances… Il le savait drogué, mais n’avait pas réussit a le calmer…
Maladie ou allergie: Allergique aux cours !
Non…Sérieusement, il est allergique à pleins de choses : Pollen, menthe, poivre, épices… Et aussi à la drogue…
Un peu plus : Il est claustrophobe, et vu qu'il est allergique a la drogue, prends souvent des tonnes de médicaments.
Merci 