Un peu de détente...

(Déso si je post avant l'acceptation de ma fiche...si ça pose un problème, dites-le, comme ça, je rectifierais le tire immédiatement... Encore Désolée!)

Ouf. Enfin un peu de calme.

Valens Heise, nouvel infirmier au lycée, était arrivé tard dans la nuit. Son retard avait une bonne excuse: il venait à peine de finir son année d'étude et son avion n'avait attérit que dans l'après-midi, comptez en plus le retrait des bagages, le passage à la douane, et le trajet de l'aéroport à Suiryo, le pauvre n'avait pas été au bout de ses peines.

De plus, à peine arrivé, et après qu'on lui ai fait visité sa nouvelle demeure pour les temps à venir, et après s'être installé à l'infirmerie, il avait débuté son investigation sur les élèves, comme il l'aimait à l'appeler. Il avait donc parcouru deux ou trois dossiers médicaux, mais c'était endormis avant la fin, normal, dans un sens, non? Entre le décallage horaire, son arrivée tardive et son boulot, il s'était simplement écroulé.

Alors, dés son réveille, il s'était mis en tête de prendre un bain. enfin, cela fut aussi retarder. Il fallait bien qu'il prenne ses repère, rencontre quelques personnes, et tout le tralala.

Bref. Enfin, il avait un moment à lui. Et donc, il entreprit de se dirigé vers la salle de bain commune, la seule salle de bain qu'on lui avait indiqué, d'ailleurs. Mais ça ne le dérangeait pas.

Il parcouru les couloirs, et arriva enfin au lieu désiré. Il franchit doucement la porte, vérifiant qu'il n'y ai personne, et entrerit, après avoir refermé l'orifice par lequel il était antré, de se faire couler un bain.

Chose faite. on vérifie la température, on retire les vêtements, ce qui, vous l'admetterez, eest tout à fait normal dans ces circonstances, et il se glissa enfin dans l'eau.

Un murmure. Un simple murmure de complaisance. il aimait bien ça. Il s'allongea un instant, avant de décider de plonger sa frimousse dans l'eau chaude, ayant retirer ses lunettes au préalable.

Une fois resorit, la pièce était déjà embrumée par la vapeur. tant mieux, direz vous. Il s'installa confortablement dans son bain, et fermit les yeux.

Enfin un moment de détente...

[Réservé ^^ ! ]

Le soir ! Le meilleur moment de la journée, plus de cours ! Surtout que pour Muriel c'était une délivrance de finir, ses deux dernières heures de cours avaient eu la chance d'être consacrées aux mathématiques , la bête noire du garçon... La première idée qu'il eut en tête fut d'abord de jetter ses affaires de cours par une fenêtre, mais plutôt que de faire cela, il les jetta dans sa chambre, et préfera opter pour un bon bain chaud ! Il avait noté qu'il y avait des bains communs, mais à cette heure, il ne devait pas y avoir âme qui vive. Alors il prit la direction de la salle d'eau, esperant bien pouvoir enlever les fichus théorème qu'on avait essayé de lui faire comprendre. Vous n'imaginez pas le nombre de cauchemar que Thalès lui avait fait faire l'année précedante ! Imaginez que vous êtes poursuivi par un triagle aux cotés proportionnels, effrayant !

Il arriva au bout de quelques minutes à la porte de la salle, il l'ouvrit, la pièce était emplie de vapeur, sans doute quelqu'un venait-il de sortir, après tout c'était normal, et puis ça semblait désert. Il s'avança donc... ne detectant toujours aucune présence, il se déshabilla et détacha ses longs cheveux. Un bain quoi de mieux pour se détendre.... Il rentra doucement dans l'eau, il ne trouva même pas bizarre que le bain soit déjà rempli ! faut dire les maths, ça ramollit le cerveau ! Il soupira de bien être. En plus l'eau était exactement à la bonne température ! Il plonggea sa tête dans l'eau, mais la ressortit bien vite, retenir sa respiration n'était pas son fort, en fait cela eut juste le temps de mouiller ses cheveux qui se plaquèrent contre son visage et son dos. Il sourit et les décolla légèrement, avant de rire doucement de l'allure qu'il devait avoir, il devait ressembler à une pieuvre !

Un moment passa, quelques minutes de calme. Puis la porte s'ouvrit. Valens l'entendit, mais ne préféra pas réagir, appréciant trop son bain. Hun? On entrait dans le bain? Mais là encore, notre médecin ne trouva pas ça suffisement bizarre pour réagir, en plus, c'était fort possible que ce soit dans une autrea baignoire.

Donc, après ce petit moment, notre infirmier se relaxa un peu plus. Il étendit ses jambes au maximum, pour frôler quelque chose. De nature curieuse, son pied tenta d'en savoir plus, et découvrit la jambe d'un autre homme!

Le coeur qui palpite, le temps que l'information arrive au cerveau, et dans un sursaut, notre jeune homme se retrouvait la tête sous l'eau. Il aura glissé, logique.

(Déso, c'est pas le texte le plus long qu'on ai vu, mais l'essentiel y est, c'est le principal.)

Muriel trouvait ça vraiment bien qu'on puisse prendre un bain chaud après les cours, vraiment il n'y avait pas mieux pour se changer les idées. Il s'amusa à dessiner des ronds du bout des doigts sur la surface de l'eau, c'était rigolo de voir les ondes s'agrandirent pour finalement ne plus être visbles mais donner naissance de nouvelles ondes. Tellement préoccuper par ce petit jeu enfantin, il ne fit pas attention aux petits calpotis d'eau qui auraient pu lui indiquer la présence de l'autre personne.

Mais il sentit bien quelque chose le froler par contre, il arrachant un hoquet de surprise d'abord, puis quand le toucher fut plus insistant, ce fut un "Ahh!" de surprise qui passa ses lèvres... A bien y réflechir, il ne devait pas être tout seul ! Il paniqua légèrement, ne voyant personne à cause de la vapeur. Alors Muriel prit son courage à deux mains, et avança vers l'endroit d'où avait dû arriver la "chose"... Il s'avança prudement, à quatre pattes, tatonnant sous l'eau, mais quand il toucha enfin quelqu'un il ne put s'empêcher de reculer ! Il avait toucher la jambe d'un homme, dans son bain ! Le rouge lui monta instantanément aux joues... Surtout qu'il ne vit toujours paas de tête, c'était peut-être un fantôme qui hantait la salle !

"Il y a quelqu'un ? Qu'est ce que vous faites là ? "demanda-t-il dans le vide.

rah ce qu'il devait avoir l'air stupide.... Le rouge de ses joues s'intensifia à cette pensée... Au moins là, il n'avait pas d'encre sur le front... Mais devait bien avaoir l'air aussi bête...

Il devra bien ressortir de l'eau à un moment ou un autre. Le plus tard serait le mieux, à son avis.

Il espérait avoir rêver, mais quand on lui toucha la jambe, il ressortit son minois aussitôt, prenant une grande inspiration. Il y avait bel et bien quelqu'un d'autre dans son bain! Vous n'imaginez pas sa surprise: il aurait voulu être seul et se détendre, maintenant, il était tendu, et accompagné!

Il essuya son visage, alors que des paroles lui arrivaient aux oreilles. Bon ses lunettes? Où sont passée ses lunettes. Ah! Les voilà! Il les trouva après avoir tatonner un peu, les plaça sur son nez, mis ses cheveux en arrière, avant d'essayer de faire la fumée disparaitre. Ou tout du moins, de façon à voir son interlocuteur.

Il toussotta légèrement, avant d'entreprendre de parler.

"Ahem. Désolé, je pensais être seul à cette heure-ci pour visiblement prendre un bain.

Un peu de sarcasme. Qu'aurait il fait d'autre dans une baignoire? Non, ne le dites pas... Bon, au lieu de terroriser ce pauvre homme, autant se présenter.

"Valens Heise, infirmier du lycée. Avec qui ai-je l'honneur de partager mon bain?"

Il en rajoutait, comme si la situation n'était déjà pas assez embarrassante comme ça...Au fait, notez ce légère accent anglais. Après tout, il venait d'Amérique, notre docteur.

Muriel sursauta quand la tête sortit de l'eau, il semblait bien que ce n'était pas un fantôme ! Il avait bien touché la jambe d'un homme qui prennait tranquilement son bain, en fait dans l'histoire c'était lui le fautif... Raaah pourquoi avait-il le don de ce mettre dans ce genre de situation ! Se retrouver dans le même bain que quelqu'un d'autre, vraiment il n'en manquait pas une... Il regarda l'homme atrappait ses lunettes, toujours un peu hébêté... Puis ses faits et gestes, sans aucunes arrières pensées, il était juste tellement surpris qu'il ne trouvait rien de mieux à faire ! Le toussotement le fit revenir sur terre et devenir rouge pivoine.

"Eh bien moi aussi..... et il est vrai qu'il est évident qu'en étant dans un bain, vous prennez un bain.......désolé...."murmura-t-il en passant par toute les teintes de rouges et infrarouges.

Il était vraiment stupide...Mais ce le faire remarquer c'était plus que gênant pour lui ! Il détourna la tête pour fixer l'eau, sans se rendre compte des sous entendus que cela pouvait entraîner, stupide et naïf ? Peut-être bien !

"Ah... euh... Muriel... Muriel De La Meriyan... élève de seconde..."bafouilla-t-il en rougissant d'un degrés de plus.

Le lycéen ne remarqua même pas l'accent de l'homme, a vrai dire c'était le dernier de ses soucis !

Il lui avait bien semblé que c'était un élève. Et visiblement il n'avait pas l'esprit bien vif. Enfin, admettons que la situation prétait à une grand confusion.

Valens dévisagea le gamin....Enfin, avant que celui-ci ne baisse les yeux sur l'eau. Se sentir flatté, ou réagir au quart de tour? Non, il avait décidé de laisser le jeune homme se calmer avant. Enfin, précisons que sous l'eau, il glissa ses main sur les partie les plus intimes de son corp. Juste au cas où....

Mais bon, il n'allait pas s'arrêter là. Il approcha son minois vers celui du plus jeune, essuyant ses lunette embuée au passage.

"Quelque chose ne va pas?"

Le faisait il exprès? Oui sans doute. C'était évident que le pauvre gosse était terrifié, et honteux... Alors maintenant que le docteur était plus proche de lui...Bon, admettons quelque chose: il était vraiment pas mal, cet infirmier.

Pas bien vif d'esprit !? Comment ça !!! Mais si mais en même temps se retrouver nu comme un ver en présence de quelqu'un d'autre dont on ne savait strictement rien, il y avait de quoi perdre ses moyens !

Muriel fixait toujours l'eau en rougissant, il ne savait vraiment pas ce qu'il devait faire... Partir en courant ? S'excuser poliment et partir calmement ? Ou alors rester ? Il était très indécis sur la question ! Et puis il n'eut pas le temps de clarifier ses idées, qui précisons le n'allaient vraiment pas vers ce que l'infirmier craignait !

Quand le lycéen eu un zoom avant sur le visage de l'homme, il releva la tête, bien obligé... Sa gêne augmenta proportionnelement comme d'après le théorème de Thalès quand l'homme s'approcha un peu plus de lui. Et en plus il demandait si quelque chose n'allait pas ! Non non tout allait très bien, il se retrouvait juste dans une situation digne d'un roman, mais à part ça tout allait pour le mieux dans le meilleur des bains !

"....Non... si ... enfin je.... "bafouilla-t-il sans réussir à dire une phrase sensé !

Il tenta de reculer, mais sa maldresse fut telle qu'il manqua de s'étaler dans la baignoire, il se rattrapa inextremiste au cou de l'infirmier... Bon admettons quelque chose : ce n'était pas pour arranger sa situation, mais il était plutôt mignon, le jeune lycéen...

Il sourit. C'était finalement mignon cette situation, et il commençait à l'aprécier.

Bien évidemment, il avait notez que le lycéen avait encore pris quelques cran dans les tons du rouge après avoir remarqué sa manoeuvre. Ca l'amusa un peu plus, mais il n'en fit aucuns commentaires, pour une fois.

Et du bafouillage maintenant? Bon bon, soit, mais là, il s'osa une réplique tout de même.

"Non? Si? Enfin tu?"

Il souriait, ne bougeant pas d'un pousse, regardant toujours l'évlève qui visiblement ne savait plus où donner de la tête.

"Et si tu choisissais tes mots pour les exprimer clai..."

Il n'eut pas le temps de finir, que voilà le gamin pendu à son cou. Il savait qu'il avait du charme, mais à ce point... Sans rigoler, ce coup de madame la Maladresse le surpris plus qu'il ne le montra.

Quelques secondes s'écoulèrent ainsi, avant qu'il ne se décide à placer un peu d'ironie.

"Hum...Et quel choix. Je m'attendais à pouvoir me détendre un peu, et voilà que celui qui entre dans mon bain me saute au cou. Serait-ce là mon jour de chance?"

Il n'en ratait pas une. Mais bon, il sourit, histoire de ne pas complètement affoler le plus jeune. Notez, au passage, qu'il avait plissé un peu des yeux, du coup, on aurait pu croire qu'il avait autre chose en tête que d'aider le pauvre malheureux. Mais bon, sce qui ne tue pas rend plus fort, et dans ce cas, c'était son coté charmeur qui avait pris le dessus.

Muriel lui ne souriait pas, ou alors c'était un sourire très gêné, et il n'apréciait pas la situation, enfin pas encore mais qui sait peut-être que.... bon d'accord je sors....

Muriel ne rougit pas plus, à vrai dire à ce stade faire plus aurait été fort... Très fort même parce que plus rouge que ce rouge, c'était vraiment impossible ! Son sourire s'étira légerement plus, plus de honte qu'autre chose ! Il n'entendit que vaguement la réplique de l'infirmier, étant déjà en train de se casser la figue, mais il comprit l'essentiel, on le taquinait... Il n'imaginait pas ce que ça allait être maintenant qu'il était accroché au cou de l'homme. Il se demandait lui-même comment il faisait pour être aussi maladroit... Il y eut un petit ange qui passa, laissant le silence durant quelques secondes. Mais bizarement arrivé à ce stade sa gêne perdit en intensité, après tout ce n'était pas bien grave...

"Hum... on m'a dit que j'étais très doué pour me faire comprendre.... Pour ce qui est de votre jour de chance, c'est à vous de voir. "murmura-t-il en souriant franchement.

En fait même en étant très timide, venait bien un moment où il se ressaisissait, seulement, même s'il s'était un peu ressaisit, il n'en lacha pas pour autant le cou de l'homme. Simple étourderie, je préçise ! Il garda néanmoins une jolie couleur pivoine.

Bon, pour toute réponse un rouge pivoine. L'aurait il blessé sans le savoir? Oh! Non non non non non! Il detestait ça! C'était pas dans sa nature de faire du mal sans l'avoir voulu.

Alors que dans le silence il allait bafouiller des excuses et se redresser, le voilà coupé dans son élan. Et par quoi? Une provocation!

Voilà qui était tentant...Mais les relations infirmiers/élèves, c'était pas interdit? Bah, personne ne lui avait rien précisé à ce sujet.

Un sourire, une réponse.

"Et bien et bien. Vous pouvez donc parler. Voilà qui est une excellente nouvelle! Et ce que vous avez à dire semble très interressant."

Il remettait ça. Et puis, comme le jeune homme rouge n'avait pas lâcher son cou, pourquoi s'arrêterait il en si bon chemin?

Et toc, voilà sa frimousse qui s'approchait encore un peu plus. A en croire par cette distance, il aurait pu embrasser le cadet sans problèmes. Après tout, on l'avait provoqué, il n'allait pas rester là sans répiquer un peu.

"Et bien, dites moi ce que vous voulez, je ne suis pas médecin pour rien."

Rhoo le gros sous-entendus que voilà. Allons, il n'allait quand même pas dire avec des mots clairs et tout haut ce qu'il pouvait penser tout bas, n'est-ce pas?

Qu'importait. Le voilà désormais trop près pour laisser une chance au gamin de filer, à moins que celui-ci ne plonge, mais dans ce cas, il risquerait bien de se retrouver dans une situation encore plus embarrassante qu'elle ne l'étais déjà.

Provocation, encore aurait-il fallu que le concerné comprenne les sous entendus de ses paroles ! Parce qu'à vrai dire, il avait dit cela sans arrière pensées ! Enfin pas volontairement du moins ! Il s'étonna d'aprendre qu'il savait parler, ah bon ? Par contre il aurait réelement été étonné d'apprendre ce qui se passait dans la tête de son interlocuteur ! Pas une seconde, enfin si peu être pendant un petite seconde, il n'avait eu l'idée de la moindre "relation infirmier / élève", et puis en plus il était mineur.... Enfin ce n'était pas un bon argument vu la situation dans laquelle il s'était mis !

"Première nouvelle, je sais parler... très intéressant ? Peut-être... Question de point de vue"répondit-il avec un soupçon d'ironie.

Comment pouvait-on être aussi naïf et sortir pourtant des phrase aussi provoquante ?! C'était sans doute incompréhensible... D'ailleurs qui arriverait à comprendre un jour le jeune homme qu'était Muriel...

Par contre quand l'homme s'approcha encore, son pouls s'accélera, il n'avait vraiment pas envisagé que ça tournerait comme ça... Quelques souvenirs lui revinrent en mémoire, en fait non, ça se passait toujours comme ça... Il analysa rapidement la situation, et préfera ne pas bouger de peur d'aggraver un peu plus son cas.

"Un ventolin ! Le mien va pas tarder à rendre l'âme..."soufla-t-il alors que sa respiration avait hostensiblement accéléré.

Si lui n'y avait pas pensé, le docteur lui l'avait bien considéré, cette relation possible.

Mais où allait il? C'était de la pédophilie si'l forçait les choses. Bah, de toute façon il ne comptait rien forcer du tout. Ce ne serait pas lui sinon.
Oh! De l'ironie. Voilà qui émoustilla un peu plus le médecin.

"Parfois, il n'est pas utile de dire grand chose..."

Oulà. Là, il ne pouvait pas faire plus clair, ou si peut-être, mais le fait qu'il ai sussuré ces quelques mots d'une voix suave dans l'oreille du gamin, accentuait un peu plus le second sous entendu de sa part. Si quelqu'un venait à entrer maintenant, ils étaient tout deux dans de beaux draps.

Respiration? Accéléré? Asthme? Il était temps d'arrêter le jeu. Il s'écarta du gamin, ce dernier avait besoin d'air.

"On va se calmer un peu. Respirez et inspirez doucement, quand ça ira un peu mieux, vous irez vous habiller puis nous irons à l'infirmerie, d'accord?"

Tiens, tout à coup il semblait moins...Pervers. N'oublions pas qu'il prenait son travail au sérieux, et s'il pouvait éviter les catastrophe, ça valait mieux.

Il s'éloigna un peu plus, attrapa un serviette, qu'il noua autour de sa taille avant de sortir du bain. Une fois là, il s'assit aux coté du cadet, histoire que s'il y avait d'autres difficultés, il pourrait intervenir plus vite, mais surtout, ainsi, il pouvait montrer quelques exercises de respiration précieux aux asthmatiques. Il connaissait quand même son boulot.

Mais bon, ce changement d'attitude le rendait, quelque part, encore plus mignon qu'avant. Surtout se coté protecteur devant son patient.

Le docteur ne l'aurait pas forcer, mais qui disait qu'il y aurait eu besoin de cela ? Muriel n'était pas une sainte nitouche, il cachait juste bien son jeu ! enfin non, il n'était pas contre d'avoir des relations plus qu'amicales, mais il n'allait pas jusqu'à se dépraver, et puis ce n'était pas son centre premier d'interêt !

Mais la voix suave au creux de son oreille, lui fit perdre le court de sa respiration déjà accelérée. Il lacha le cou de l'homme se concentrant plutôt pour retrouver son calme, même s'il trouvait ça un peu dommage quand même... Il acquiesca à la proposition de l'homme. Il se reconcentra son ses inspirations et ses expirations, son souffle était toujours rapide, mais il était moins sifflant. Quelque minutes après sa respiration était presque normale. Il sourit à l'homme, même s'il conaissait déjà tout ce qu'il lui avait montré...

"Merci... Je vais aller m'habiller je crois."répondit-il doucement en attrapant un serviette dont il s'entoura.

Il s'avança calmement vers ses affaires et après s'être rapidement séché, se rhabilla à la va vite, ce qui se traduisait par une chemise à moitié boutonnée, et une cravate pas mise du tout ! Puis il retourna finalement vers le docteur.

"En fait non, mon ventolin ne fonctionne plus... Je viens de le finir"chuchota-t-il d'une petite voix.

Valens écoutait la respiration du jeune homme avec intérêt. Au bout de quelques minutes, elle avait reprit un cours normale. Tant mieux, il était soulagé.

il savait bien que les exercices qu'il avait montré était déjà connus, mais parfois, lors d'une crise, les malades paniquent, et c'est là que ça devient utile.

Content d'entrendre le garçon le remercier, il lui sourit comme un "C'est rien, c'est mon métier.". Il était visiblement soulagé que ça ne se soit pas plus mal finit que ça.

A son tour, il alla s'habiller, avec plus de soin que son cadet, bien que sa cravate ne fut pas entièrement refermée. Il gardait aussi sa blouse à la main.

Et voilà que Muriel se tournait vers lui alors qu'il finissait de boutonner sa chemise. Son ventolin était finit? Il devait en avoir à l'infirmerie, il l'allait vue quand il avait vérifier le matériel, la veille. Il aquiessa donc.

"Très bien. Venez à l'infirmerie, ainsi je pourrais faire un bilan de santé un peu plus complet."

Non, pas de sous-entendu. Il était sérieux, et offrait un sourire rassurant au petit, alors qu'il lui offrit de passer devant.

(Sujet clos, suite à l'infirmerie...)